Amy Winehouse : son ex, Black Fielder-Civil réagit au film biopic

Amy Winehouse : son ex, Black Fielder-Civil réagit au film biopic
Amy Winehouse et Blake Fielder-Civil. © Instagram

Les deux entretenaient une relation compliquée rythmée par la drogue et l'alcool.

Le biopic sur Amy Winehouse est sorti mercredi 24 avril. Intitulé "Back To Black", le spectateur est plongé dans l’histoire de la défunte chanteuse britannique, entre succès, excès et sa fin tragique. Mais le film n’est pas aux goûts de tout le monde, sauf pour son ancien compagnon Blake Fielder-Civil.

Mariés de 2007 à 2009, Amy Winehouse et Blake Fielder-Civil ont beaucoup fait parler d’eux à l’époque. Une relation dépeinte dans le film de Sam Taylor-Johnson, "Back To Black". Un biopic sur l’histoire de la chanteuse anglaise incarnée par Marisa Abela qui revient sur sa carrière jusqu’à sa descente aux enfers et son soudain décès en 2011. Mais les internautes sont divisés sur le traitement de la relation du couple. Alors que l’abus de drogue et d’alcool faisait parti de leur quotidien, le film montre une autre version, où Amy Winehouse serait la seule impactée par ce problème. Invité de l’émission "Good Morning Britain", Blake Fielder-Civil donne justement son avis sur la question.

Évoquant un film "presque thérapeutique", il estime que son rôle incarné par Jack O’Connell est représenté "de façon plus exacte" qu’il ne l'imaginait. "Pas dans le sens où je me suis senti libéré ou blanchi, comme ça a été évoqué... mais juste dans le sens où (le film) ne parle pas d’addiction. il y avait une addiction mais ce n'était qu'un aspect. La relation a commencé comme toute autre relation", déclare-t-il. Il poursuit : "Le problème, c'est que l'histoire qui est racontée (depuis des années), j'ai appris très rapidement que (l’équipe du film) n'était pas intéressé pour raconter cela". Il finit par conclure, espérant que Mitch Winehouse, père de la chanteuse "verra que j'aimais véritablement Amy. Elle m'aimait aussi. Si je pouvais faire n'importe quoi pour la ramener, évidemment que je le ferais."