Voilà plusieurs semaines que la rumeur courait à Clermont-Ferrand. L'opposition municipale clermontoise proposera une candidature commune aux prochaines élections municipales. Les partis Renaissance et Les Républicains annoncent officiellement leur alliance ce jeudi 10 juillet.
Liste commune dès le premier tour
Un rapprochement clair entre le centre et la droite qui n'avait pas été vu à Clermont-Ferrand depuis 1995 et la candidature de Valéry Giscard-d'Estaing. Celle-ci s'étant soldée par un échec avec l'élection de Roger Quilliot. Le Parti Socialiste, dont fait partie le maire actuel Olivier Bianchi, est en place dans la capitale auvergnate depuis 1944. Un vrai bastion de gauche qui pourrait tomber l'an prochain ? C'est l'ambition de cette union entre Renaissance et Les Républicains.
Les deux chefs de file de l'opposition Olivier Blondeau (Renaissance, ex-La République en Marche) et Julien Bony (Les Républicains) ont dévoilé leur souhait de faire une liste commune aux municipales de mars 2026. Et cela, dès le premier tour de l'élection.
Une tête de liste en septembre
Pour l'instant, cette nouvelle fusion n'a pas dévoilé sa tête de liste. Julien Bony était le chef de file désigné des Républicains et Alexis Blondeau le pilote de Renaissance pour Clermont-Ferrand, l'un d'eux devra prendre en main la candidature commune. À moins qu'une autre personne ne soit désignée. Réponse en septembre.
