La victime, un clermontois s’était donné la mort en 2009 dans un hôtel de la région parisienne et le drame avait été reconnu comme un accident du travail. Mercredi, le tribunal des affaires de sécurité sociale de Clermont a considéré que l’employeur avait commis une faute inexcusable car il connaissait la situation de la victime et qu’il lui faisait tout de même effectuer près des 3/4 de son temps de travail en dehors de l’Auvergne et donc loin de ses 3 jeunes enfants. Otis devra verser 40 000 euros à l’épouse du défunt et 20 000 euros à chacun des enfants.
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