Des femmes dénoncent le féminicide par des affichages sauvages

Paris, Lyon, Nantes, Bordeaux, et maintenant Clermont-Ferrand

Des rassemblements spontanés se forment pour coller dans les rues de Clermont des messages. Le mouvement part du réseau social Instagram. Le but ? Faire réagir l’opinion publique face aux violences conjugales et le féminicide. 

Sur certains murs de la ville, vous pouvez désormais lire des phrases telles que : « Être femme tue », « Plus écoutées mortes que vivantes »... 

Derrière ces affichages sauvages, plusieurs femmes clermontoises, la plupart jeunes et étudiantes, résolues à agir pour dénoncer les 125 féminicides survenus depuis le mois de janvier 2019.